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La plus ancienne pharmacie privée de Belgique
De 1704 à 1959, six générations d'apothicaires ont vendu ici pilules, onguents et potions. Dans la boutique, les nombreuses herbes répandent une odeur délicieuse. Thomas Botti vous accueille dans sa flamboyante officine du XVIII siècle. Il fut le premier pharmacien que l'on obligea à conserver les poisons dans une armoire fermant à clef. On y trouvait par exemple de la poudre de belladone, très prisée des jeunes dames en quête d'un mari. Mais aussi des pilules dorées, qui reflétaient le rang social du patient. Envie de décuvrir d'autres secrets de cette pharmacie?
Le Musée de la Pharmacie est une capsule temporelle bien conservée : tant l'intérieur que la collection de fournitures pharmaceutiques retracent l'évolution du métier de pharmacien du 18e siècle à la première moitié du 20e siècle. A peine entré dans la salle, le visiteur est plongé dans l'histoire de la pharmacie et de la droguerie : les anciens comptoirs, les tiroirs à plantes, « l'armoire à poison », les pots d'apothicaires, les divers mortiers, le pilulier et les spatules respirent l'atmosphère d'une époque révolue, quand le pharmacien n'était encore qu'apothicaire.
En 2012 se sont achevés d'importants travaux de rénovation du mobilier. Le résultat est une belle pharmacie du 18e siècle où le pharmacien Thomas Botti transformait ses pilules et vendait des plantes. Plusieurs objets personnels et mystérieuses fournitures rappellent également le dernier pharmacien, Guillaume Van Venckenray (1911-1959).
Le jardin d'herbes aromatiques derrière la pharmacie vaut le détour.
Le Musée de la Pharmacie est une capsule temporelle bien conservée : tant l'intérieur que la collection de fournitures pharmaceutiques retracent l'évolution du métier de pharmacien du 18e siècle à la première moitié du 20e siècle. A peine entré dans la salle, le visiteur est plongé dans l'histoire de la pharmacie et de la droguerie : les anciens comptoirs, les tiroirs à plantes, « l'armoire à poison », les pots d'apothicaires, les divers mortiers, le pilulier et les spatules respirent l'atmosphère d'une époque révolue, quand le pharmacien n'était encore qu'apothicaire.
En 2012 se sont achevés d'importants travaux de rénovation du mobilier. Le résultat est une belle pharmacie du 18e siècle où le pharmacien Thomas Botti transformait ses pilules et vendait des plantes. Plusieurs objets personnels et mystérieuses fournitures rappellent également le dernier pharmacien, Guillaume Van Venckenray (1911-1959).
Le jardin d'herbes aromatiques derrière la pharmacie vaut le détour.
Équipements
Accessible aux fauteuils roulants
Accessible aux poussettes
Parking dans un rayon de 100 mètres ?
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